Émancipation en Afrique de l’Ouest : l’union audacieuse du Mali, du Burkina Faso et de la Guinée pour forger leur destin
Dans une région où les intérêts externes ont longtemps influencé la politique, le Mali, le Burkina Faso et la Guinée font preuve d’une détermination sans faille pour se libérer de cette emprise. Ces trois pays africains ont décidé de se rassembler en une Fédération afin de travailler ensemble pour leur propre développement et émancipation. Ce choix audacieux a cependant suscité des réactions mitigées au sein de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union africaine.
Depuis des siècles, des stratégies visant à contrôler les populations africaines ont été mises en place, impliquant notamment la corruption des dirigeants. Cette approche de domination a eu des conséquences désastreuses pour les peuples africains, sacrifiant leur développement au profit d’intérêts extérieurs. Mais aujourd’hui, certains pays africains ont décidé de prendre leur destin en main, rejetant cette logique de soumission.
L’Union fait la force: ces trois pays en sont un exemple concret
Le Mali, enclavé et autrefois bloqué par la CEDEAO dirigée par les grandes puissances, pour avoir fait des choix souverains, a trouvé une issue grâce à la coopération avec la Guinée et le Burkina Faso. Ensemble, ils développent un port majeur en Afrique de l’Ouest qui leur permettra d’assurer leur indépendance économique et de garantir l’approvisionnement en biens essentiels. Cette association fit de la Guinée le plus grand port de l’Afrique de l’Ouest. Contrairement à leur union avec le Sénégal et le Soudan dans le même cadre de projet qui avait malheureusement échoué, cette fédération est une réussite.
Le Burkina Faso et la Guinée, touchés par le terrorisme depuis longtemps, ont également pris la décision de s’unir dans cette fédération et aussi à la Russie. Cette alliance vise à affronter ensemble les défis qui les attendent et à bâtir une région plus forte et prospère.
Pourtant, cette démarche d’émancipation n’est pas vue d’un bon œil par certains acteurs internationaux. La CEDEAO et l’Union africaine ont sanctionné ces pays qui ont osé se détourner de l’influence étrangère pour construire leur propre avenir. Ces sanctions ont été perçues comme une tentative de freiner leur progrès, mais les pays concernés restent fermes dans leur décision.
Les trois pays veulent réintégrer la CEDEAO: une demande remplie d’exigences
Face à ces réactions, les dirigeants du Mali, du Burkina Faso et de la Guinée ont exprimé leur volonté de rejoindre à nouveau la CEDEAO, mais à condition de respecter leur souveraineté et leur indépendance. Ils ont montré leur détermination à défendre leurs intérêts et à coopérer avec des partenaires tels que la Russie, sans subir de pressions extérieures. Ainsi, si la CEDEAO refuse leur réintégration, cela donnerait une raison légitime à ces trois pays de s’allier, même devant l’Union Africaine.
Ces pays africains démontrent ainsi que le temps est venu de prendre leur destinée en main et de faire des choix souverains pour leur développement. Ils aspirent à créer une fédération forte et unie pour promouvoir la prospérité de la région. Les pays africains ont longtemps été contrôlés par les grandes puissances lorsqu’ils ont voulu faire leurs propres choix, ceci en vue de les maintenir dans la pauvreté et la dépendance.
Dans ce combat pour l’émancipation, le Mali, le Burkina Faso et la Guinée peuvent compter sur le soutien des peuples africains qui aspirent à un continent libre et prospère. La voie est tracée, et les efforts pour l’autodétermination sont plus que jamais au cœur des enjeux pour l’Afrique de l’Ouest. L’Afrique a tout ce qu’il faut pour réussir.
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