Le projet controversé de l’administration Biden : Bloquer le soleil pour contrer le changement climatique
Le monde part dans toutes les directions et une proposition surprenante a été soulevée par le gouvernement de Joe Biden. En effet, le gouvernement américain veut bloquer le soleil. Cette initiative a été prise pour palier à l’excès de chaleur dans le monde. Dans ce contexte, l’une des solutions proposées est de bloquer le soleil en émettant des particules aérosolaires, c’est-à-dire que des avions vont disperser des particules dans l’air pour bloquer les rayons solaires.
Le nouveau projet de Joe Biden: En quoi consiste t-il réellement?
Un document de la Maison Blanche a révélé que l’administration Biden envisage d’étudier un blocage des rayons du soleil pour ralentir le changement climatique, ce qui a suscité des surprises et des moqueries sur les réseaux sociaux.
La méthode du gouvernement Biden sera l’injection aérosol stratosphérique. Il s’agit d’une opération qui consiste à envoyer des avions pour éjecter des petites particules dans l’air. C’est une stratégie visant à bloquer les rayons solaires, entre autres.
La géo-ingénierie, parfois appelée ingénierie climatique, fait référence à des tentatives délibérées d’intervention dans le système terrestre pour influencer les impacts du changement climatique. Ces interventions se répartissent en deux grandes catégories : l’élimination du dioxyde de carbone (CDR) et la gestion du rayonnement solaire (SRM).
La technologie CDR tente d’éliminer le CO2 de l’atmosphère, tandis que la technologie SRM tente de refroidir la Terre en réfléchissant une partie de la lumière solaire vers l’espace. Cela signifie que les rayons solaires viennent vers la Terre, mais des aérosols les renvoient vers l’espace pour réduire le réchauffement.
A Lire: « Bibi » : Un homme aux multiples ambitions controversées
Les Occidentaux dans une lutte contre le réchauffement climatique: L’Afrique en souffre au profit des intérêts étrangers
Beaucoup de pays africains sont incapables de produire certains éléments qui pourraient être très productifs sur le plan financier, en raison de leur engagement à lutter contre le réchauffement climatique, bien que l’Afrique ait contribué très peu aux effets néfastes de ce phénomène.
Le gouvernement de Biden veut changer la donne, car il fait trop chaud pour tout le monde. Ils veulent réduire la production de certaines industries responsables d’émissions importantes. Par exemple, la Côte d’Ivoire et le Ghana envisagent de réduire la production de cacao, ce qui a un impact sur leurs revenus. L’Éthiopie envisage d’arrêter la production de café, une source de revenus majeure pour le pays.
L’idée est de trouver des moyens pour contrer le réchauffement climatique, même si certaines entreprises privées étrangères continuent à émettre des gaz à effet de serre sans contraintes.
La première question qui se pose est de savoir à qui appartient le soleil. Les États-Unis veulent bloquer le soleil, mais qui décide de cela ? Les Américains, en tant que nation, ont-ils le droit de décider de l’accès au soleil pour le monde entier ?
A Lire: Le ministre finlandais de l’économie accuse l’Afrique d’être responsable du réchauffement climatique
Les enjeux du nouveau projet de Joe Biden
Le gouvernement américain s’inspire de l’éruption du mont Tambora en 1815 en Indonésie, qui a projeté des particules dans l’atmosphère et a bloqué les rayons du soleil, provoquant une baisse de la température globale de 4 degrés. Ils souhaitent répliquer cet événement pour contrer le réchauffement actuel.
Cependant, il est difficile de prédire les effets à long terme de telles interventions sur le climat. Les changements climatiques drastiques peuvent avoir des conséquences imprévisibles. De plus, ces projets nécessitent d’importants investissements financiers.
En fin de compte, il y a de nombreuses questions en suspens concernant la géo-ingénierie et le blocage du soleil. Les enjeux sont énormes, et il est essentiel de réfléchir à toutes les implications avant de prendre des décisions aussi importantes pour la planète.