
Aujourd’hui, nous allons aborder un sujet qui concerne une société vieille de 20 ans, mais qui se trouve au 21ème siècle. Bien que notre société ait atteint une certaine maturité, elle semble être embourbée dans les mêmes activités improductives qui la caractérisent depuis longtemps. Pendant que d’autres nations telles que les Européens, les Américains, les Russes et les Chinois travaillent sur l’amélioration de leurs programmes et l’exploration de nouvelles voies, les Africains, en revanche, semblons passer notre temps à critiquer, dénigrer et vilipender.
L’énigme de la négativité : Quand la critique devient une obsession

C’est comme si certains d’entre nous étaient conditionnés à voir le mal partout. Ce sont des individus marqués par des blessures du passé, des plaies ouvertes, des esprits en conflit, incapables de trouver la paix. Ils détestent voir d’autres réussir, et ils prennent plaisir à semer le désordre, à créer des conflits, à faire saigner et salir. Pour eux, blesser quelqu’un d’autre est presque un moyen de se sentir vivants. Ils se nourrissent de la détresse des autres, trouvant leur énergie dans les larmes et la douleur qu’ils infligent.
Lorsque des gens se réunissent pour célébrer, il y a toujours ceux qui se comportent comme des invités de dernière minute. Ils critiquent la nourriture, la robe de la mariée, et trouvent constamment à redire. Parfois, ils remettent en question l’authenticité des mariages d’intérêt. Ils s’immiscent dans les affaires des autres comme s’ils n’avaient pas de vie propre. Les photos d’un bébé postées sur Internet ne sont pas épargnées, car ils n’hésitent pas à critiquer même l’apparence de l’enfant, comme si être noir était un crime.
Ces personnes sont souvent en proie à des tourments intérieurs. Leur amertume les pousse à critiquer, insulter et vilipender pour se sentir exister. Ils se focalisent sur les moindres détails, comme la voiture que le voisin a laissée sur la rue, la petite boutique qu’un ami a ouverte, ou les articles de presse qui parlent de la Chine. Ils se plongent dans des querelles insignifiantes, incapables de voir le monde tel qu’il est.
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Les réseaux sociaux comme centre de critiques

Sur Internet, les commentaires haineux fusent comme des flèches empoisonnées. Les vidéos les plus innocentes, comme celle des bébés tout innocents par exemple, sont sujettes à des critiques cruelles et sans fondement. Certaines personnes sont malades, en proie à une souffrance interne incommensurable. La moindre imperfection les pousse à voler, mentir et nuire aux autres.
Face à de telles images, il est naturel de changer de chaîne ou de passer son chemin. Il est inutile de laisser des traces dans ces lieux toxiques. Plutôt que de s’attarder sur la négativité, il est préférable de se consacrer à des activités captivantes et constructives, à l’écriture de livres innovants.
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La critique injuste : Un reflet de l’inconfort personnel

Ceux qui vous critiquent injustement, qui répandent des rumeurs malveillantes à votre sujet, sont en réalité des individus qui n’ont pas atteint votre niveau de réussite et de maturité. Ils tentent de vous rabaisser pour se sentir mieux dans leur propre peau.
Imaginez vous un chef d’entreprise et ses collaborateurs, réunis dans une salle entrain de critiquer le jardinier. Ou encore un colonel qui parle de son caporal. Ce sont des situations qui n’arrivent pratiquement jamais. Par contre, c’est généralement le jardinier qui dénigre le directeur, et ainsi de suite. En effet, ce sont toujours les plus faibles qui s’attaquent aux plus forts.
Alors, persévérez dans ce que vous faites. Ceux qui vous critiquent le savent bien, vous êtes bien au-dessus d’eux.
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