Une nouvelle pandémie mondiale prévue pour 2025 ? La vérité sur une simulation troublante
Une réunion à huis clos dévoile des prévisions inquiétantes pour l'année 2025.

Alors que le monde espère tourner la page des crises sanitaires, une simulation secrète menée en Belgique par des institutions influentes comme la Bill & Melinda Gates Foundation et l’OMS ravive les inquiétudes. Prévue pour 2025, une nouvelle pandémie mondiale aurait déjà une date, un scénario et un nom : « Catastrophic Contagion« . Faut-il s’en alarmer ? Voici tout ce que révèle cette rencontre troublante.
Une nouvelle année sous tension : entre résolution personnelle et réalités globales
Malgré les vœux de paix, santé et prospérité, le début de cette année 2025 est assombri par une actualité troublante. Une réunion de haut niveau s’est tenue en Belgique, rassemblant des acteurs mondiaux de la santé publique, dont la Bill & Melinda Gates Foundation, le Johns Hopkins Center for Health Security et l’Organisation Mondiale de la Santé. Leur objectif ? Simuler la prochaine pandémie.
Une simulation planifiée : la prochaine crise sanitaire prévue pour 2025 ?
Selon les informations relayées, cette simulation baptisée Catastrophic Contagion imagine l’émergence d’un nouveau virus baptisé « Epidemic Enterovirus Syndrome ». La date déjà prévue ? 2025. Cette projection, loin d’être anodine, reproduit fidèlement un scénario déjà observé avec l’événement 201, organisé peu avant la crise du COVID-19.
Cette fois encore, les institutions mondiales ont simulé — devant caméra — une réaction à une nouvelle pandémie, ses conséquences sur les sociétés, et surtout les mécanismes de contrôle et de réponse mondiale.
Une participation ciblée : l’Afrique au cœur de la stratégie
Parmi les participants : des ministres de la santé et hauts responsables du Sénégal, du Rwanda, du Nigéria, de l’Angola, du Libéria et d’autres pays. La présence volontairement mise en avant de figures africaines vise, selon le narrateur, à légitimer les décisions mondiales et apaiser les méfiances, particulièrement fortes sur le continent face à une gouvernance sanitaire globale.
Une intervention marquante est celle d’une représentante africaine demandant à ce que les gouvernements nationaux soient impliqués dans les décisions. Une requête qui soulève un problème de fond : les stratégies sanitaires mondiales pourraient-elles outrepasser les constitutions nationales ?
Une gouvernance mondiale de la santé au-dessus des lois ?
Les discours entendus durant cette simulation insistent sur la nécessité d’une confiance mutuelle, d’une synchronisation globale des politiques de santé, au détriment de la souveraineté des États. L’idée d’une instance sanitaire supranationale au-dessus des constitutions nationales semble se profiler, justifiée par l’urgence sanitaire.
Ce glissement inquiète d’autant plus que, selon le narrateur, certaines figures comme Anthony Fauci avaient déjà prévu publiquement une pandémie avant celle de 2020. Le parallèle entre prédiction et réalité renforce les soupçons.
Une stratégie de communication bien huilée
Les images diffusées dans cette simulation mettent en avant la diversité des intervenants pour déjouer les critiques de manipulation. En intégrant des visages familiers aux populations concernées, l’adhésion au discours est facilitée. Un outil psychologique efficace pour obtenir le consentement général.
On insiste aussi sur l’importance de l’unité entre leaders politiques, religieux et médiatiques, afin d’éviter toute dissension. Le message est clair : il ne s’agit plus de souveraineté nationale mais de survie planétaire.
Une jeunesse appelée à se réveiller
Le narrateur insiste enfin sur le rôle fondamental de la jeunesse africaine. Il appelle les jeunes à sortir des conflits politiques et identitaires secondaires pour se concentrer sur ce qu’il considère comme une menace systémique majeure. Selon lui, l’avenir se construit par la conscience et la vigilance, et non par la passivité face aux décisions imposées.
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Conclusion : Une alerte ou une manipulation ?
Ce scénario de pandémie planifiée pour 2025 relance les interrogations sur les capacités des grandes institutions à anticiper — voire influencer — les crises sanitaires mondiales. À travers la mise en scène de cette simulation, c’est tout un débat sur le pouvoir mondial, la souveraineté nationale, et la gestion des libertés publiques qui se dessine. Reste à savoir si l’information est une alerte sincère ou un moyen de contrôle de masse plus sophistiqué.